5 faits à connaître sur le débit d’absorption spécifique (DAS)

 

Nous découvrons 5 faits que les consommateurs devraient connaître sur les smartphones et le DAS 

 

1. Vous devez rechercher vous-même le DAS d’un smartphone 

Comme les consommateurs ne prennent pas vraiment note de ces choses, il n’est pas surprenant de découvrir que le DAS du smartphone que vous venez d’acheter n’est pas facilement disponible. Vous devez faire votre propre recherche en ligne à ce sujet. Profitez-en également pour vous informer sur la protection ondes smartphones et son utilité.  

 

2. Le DAS rapporté est probablement surévalué 

Il est important de savoir que les données révélées sont toujours le niveau le plus élevé possible qu’un smartphone peut produire. Cela est dû au fait que les smartphones sont testés au niveau de puissance le plus élevé possible et il est probable que vous ne l’utiliserez pas du tout à un tel niveau élevé !

Ainsi, même si les niveaux peuvent sembler effrayants, ils ne sont pas une constante. 

 

3. Un smartphone à faible DAS ne le rend pas plus sûr 

Avec la révélation des niveaux de DAS, on pourrait penser que le choix évident de smartphones est de viser ceux qui ont des niveaux de DAS plus faibles. Malheureusement, ce n’est pas aussi simple que cela.

 

Il y a d’autres paramètres techniques à prendre en compte tels que : le placement de l’antenne, la fréquence de fonctionnement et plus encore qui pourraient affecter la santé et la sécurité d’une personne lorsqu’elle utilise un smartphone. Il est également possible que la façon dont les tests sont effectués ne reflète pas entièrement la façon dont une personne l’utilisera au quotidien. 

 

4. Il n’existe pas de valeur SAR universellement sûre/dangereuse 

En Amérique, la limite de la Commission fédérale des communications (FCC) pour l’exposition du public aux téléphones cellulaires est un niveau SAR de 1.6 watts par kilogramme (1,6 W/kg), tandis qu’en Allemagne, la certification allemande pour le respect de l’environnement ‘Der Blaue Engel’ (Ange bleu) ne certifie que les téléphones dont le débit d’absorption spécifique est inférieur à 0,60 watts par kilogramme.  

 

Le DAS d’un téléphone portable varie considérablement pendant l’utilisation et une valeur maximale de DAS ne fournit pas d’informations suffisantes sur la quantité d’exposition aux radiofréquences dans des conditions d’utilisation typiques. 

 

 

5. Il n’y a pas suffisamment de données sur les effets du DAS sur la santé 

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « un grand nombre d’études ont été réalisées au cours des 2 dernières décennies pour déterminer si les téléphones mobiles présentent un risque potentiel pour la santé. À ce jour, il n’a pas été établi que l’utilisation du téléphone mobile avait des effets néfastes sur la santé. »